Kant: Critique de la raison pure

La Critique de la Raison pure est l’ouvrage fondamental de Kant, publié en 1781, dans lequel il analyse les différentes facultés de l’esprit, afin d’établir que notre connaissance ne saurait dépasser les limites de l’expérience.

Cet ouvrage vise à répondre à la question : que pouvons-nous savoir ? C’est là une question classique de la théorie de la connaissance, examinée en particulier par Descartes, Locke, Hume. Nos idées correspondent-elles à quelque chose de réel, ou sont-elles fictives ? Le monde extérieur est-il réellement comme nous le pensons, et comme nous le voyons ? Nos théories sur le monde sont-elles vraies ?

https://www.les-philosophes.fr/kant-critique-de-la-raison-pure.html

bluenote a écrit:

La Critique de la Raison pure est l’ouvrage fondamental de Kant, publié en 1781, dans lequel il analyse les différentes facultés de l’esprit, afin d’établir que notre connaissance ne saurait dépasser les limites de l’expérience.

Cet ouvrage vise à répondre à la question : que pouvons-nous savoir ? C’est là une question classique de la théorie de la connaissance, examinée en particulier par Descartes, Locke, Hume. Nos idées correspondent-elles à quelque chose de réel, ou sont-elles fictives ? Le monde extérieur est-il réellement comme nous le pensons, et comme nous le voyons ? Nos théories sur le monde sont-elles vraies ?

https://www.les-philosophes.fr/kant-critique-de-la-raison-pure.html

D'abord une simple réflexion :  Critique de la raison pure par la raison pure elle-même? Cela constitue sa base de réflexion qu'il n'aurait pas lui-même à prouver?

Il me semble que c'est toujours quelqu'un ou la pensée de quelqu'un qui examine ou s'examine. Ainsi quelque chose ne semble pas aller lorsque je lis :
«L’entendement va examiner la manière dont il fonctionne lui-même»
«la raison s’examine elle-même»

En vrac : si quelqu'un n'a pas vécu un certain type d'expériences, il me semble que cette personne ne peut généraliser en disant que personne d'autre n'a vécu ce type d'expériences... En ce sens, il me semble que sa réflexion sur les cygnes devrait, ici, lui être appliquée...

Et là, me vient ici l'écho d'une pensée d'Einstein confrontant la pensée de Kant : «Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don.» Einstein - et autres pensées sur le mental...

Etc.

ça ne me paraît pas contradictoire avec l'idée de Kant qui pose la question de la nature même de la connaissance, par la raison.

Résumé de : la Critique de la Raison pure
Kant
La Critique de la Raison pure est l’ouvrage fondamental de Kant, publié en 1781, dans lequel il analyse les différentes facultés de l’esprit, afin d’établir que notre connaissance ne saurait dépasser les limites de l’expérience.

Il entreprend de montrer que la métaphysique ne peut représenter une vraie science et qu’elle doit laisser place à la croyance.

https://www.les-philosophes.fr/kant-critique-de-la-raison-pure.html

J'ai trouvé le texte en ligne format PDF

http://www.prepagrandnoumea.net/hec2015/TEXTES/KANT%20Critique%20de%20la%20raison%20pure%20Prefaces%20et%20introduction.pdf

florence_yvonne a écrit:

Résumé de : la Critique de la Raison pure
Kant
La Critique de la Raison pure est l’ouvrage fondamental de Kant, publié en 1781, dans lequel il analyse les différentes facultés de l’esprit, afin d’établir que notre connaissance ne saurait dépasser les limites de l’expérience.

Il entreprend de montrer que la métaphysique ne peut représenter une vraie science et qu’elle doit laisser place à la croyance.

https://www.les-philosophes.fr/kant-critique-de-la-raison-pure.html

Kant n'a pas tenu compte du phénomène de la réincarnation, parce que si celle-ci est réelle l'expérience d'un individu va bien au delà d'une seule vie ?

La réincarnation n'existe pas.

florence_yvonne a écrit:

La réincarnation n'existe pas.

Ah bon ?

Ben oui, la résurrection peut-être, mais pas la réincarnation.

florence_yvonne a écrit:

Ben oui, la résurrection peut-être, mais pas la réincarnation.

Troisième option : ni résurrection ni réincarnation...

À propos maintenant de l'affirmation sans preuves...

«Le rasoir de Hitchens est un rasoir épistémologique affirmant que la charge de la preuve concernant la véracité d'une affirmation incombe à celui qui fait la demande; si cette charge n'est pas remplie, la demande est alors sans fondement et peut être facilement rejetée. Le rasoir de Hitchens est une traduction de l'expression latine  «Quod gratis asseritur, gratis negatur »1 (« ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve »), formule du droit romain qui a été largement utilisée depuis le début du xixe siècle et est employée en particulier par Renan2.» ICI

Version téléchargeable (gratuitement) de La critique de la raison pure (question d'y laisser quelques cheveux = lecture pas facile)...

Pas facile, mais sûrement fondamental dans l'approche de la pensée moderne.
Un site avec quelques citations pour se faire une idée de l'ampleur et de la puissance de la pensée de Kant:
L'entendement ne peut rien percevoir, ni les sens rien penser. La connaissance ne peut résulter que de leur union.
https://dicocitations.lemonde.fr/reference_citation/9349/Critique_de_la_Raison_pure_1781_.php

C'est sur ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve, mais croire sans preuve, cela s'appelle la foi.

La critique de la théorie de la connaissance dépasse la question de la foi, mais concerne la légitimité même de nos structures mentales.

la légitimité même de nos structures mentales.?

Je ne comprend pas.

bluenote a écrit:

La critique de la théorie de la connaissance dépasse la question de la foi, mais concerne la légitimité même de nos structures mentales.

La foi se base sur la résonance des phénomènes terrestres en un milieu céleste, divin...
Facteurs de causalités, morale, principes... Tout se doit d'être présentement le reflet fidèle d'une réalité plus... harmonieuse.

Cest là que je vois que mon éducation laisse à désirer.

La question de la foi n'est pas selon moi centrale dans la critique de la théorie de la connaissance.