Trump et la suite ..

Donald Trump élu président: explosion des recherches Internet pour quitter les États-Unis

Les recherches "quitter le pays" et "comment déménager en..." ont connu une forte augmentation sur Google aux États-Unis mercredi 6 novembre, après l'annonce de la victoire de Donald Trump à la présidentielle.

De nombreux déçus Outre-Atlantique. Après la victoire de Donald Trump à la présidentielle, annoncée mercredi 6 novembre, le nombre de recherches pour déménager à l'étranger ont fortement augmenté sur Google, aux États-Unis, au terme d'une campagne tendue et à l'aube d'un mandat incertain, rapporte notamment le média Reuters.

Les tendances observées sur le moteur de recherche montrent que les recherches "quitter le pays" et "comment déménager en..." ont connu un bond, une fois la victoire du républicain annoncée.

La recherche "comment déménager au Canada" a augmenté de 1.270% durant les 24 heures qui ont suivi la clôture des bureaux de vote sur la côte Est des États-Unis, tandis que les recherches pour déménager en Nouvelle-Zélande ont bondi de 2.000% et celles pour s'installer en Australie de 820%.

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Elon Musk va-t-il influencer la politique environnementale de Trump ?

Quelques jours après l'élection américaine, les médias américains s'interrogent - à juste titre - sur le rôle que jouera Elon Musk dans le gouvernement Trump et notamment, s'il pourrait y apporter une contribution positive en matière d'écologie. Le patron de Tesla et Space X, qui se définit lui-même comme un « super pro-climat », va-t-il murmurer à l'oreille de celui qui nie l'existence du réchauffement climatique et veut sortir de l'accord de Paris ?

Pendant sa campagne électorale, dans laquelle Elon Musk a joué un rôle central en y allouant 110 millions de dollars et une énergie débordante, Donald Trump s'est montré plus mesuré qu'il ne l'avait été auparavant au sujet des véhicules électriques. Alors qu'il avait annoncé vouloir en stopper les ventes lors de la convention républicaine en août, il a fini par nuancer son propos. « Je parle constamment des véhicules électriques, mais je ne veux pas dire que je suis contre. Je suis pour », a-t-il déclaré lors d'un meeting dans le Michigan. « Je les ai conduits et ils sont incroyables, mais ils ne conviennent pas à tout le monde ».

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David Mallett : « Si j’étais le coiffeur de Donald Trump… »

Un pied à Paris, où il vit depuis plus de vingt ans, un autre à New York, où il a ouvert un troisième salon, le célèbre coiffeur australien David Mallett est sans conteste le mieux placé pour analyser le style capillaire du 47e président des États-Unis et son évolution avec le temps. Plutôt que le blond artificiel affiché lors de son premier mandat, il semblerait que Donald Trump opte désormais pour une coloration plus dorée? Qui n'échappe néanmoins toujours pas au caricatural, plus encore si elle est associée à un bronzage orangé et à des dents blanchies à outrance. Une certaine vision de l'Amérique, comme nous l'explique David Mallett.

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Le retour de Trump risque de rendre la Fed moins indépendante

WASHINGTON (Reuters) - Durant sa campagne électorale, Donald Trump a promis de "purger" le département américain de la Défense de ses généraux "woke". Maintenant qu'il a été élu président, la question qui taraude le Pentagone est de savoir s'il pourrait aller encore plus loin.

Donald Trump voudrait bien avoir "son mot à dire" dans les décisions de la banque centrale américaine, la Réserve fédérale (Fed). De retour à la Maison-Blanche, il pourrait essayer d'affaiblir la précieuse indépendance de l'institution de politique monétaire.

"Le président devrait au moins avoir son mot à dire", estime Donald Trump. "Je pense que j'ai un meilleur instinct que, dans de nombreux cas, les personnes qui siègent à la Réserve fédérale, ou le président", avait-il assuré le 8 août.


La puissante Fed relève et abaisse les taux d'intérêt au gré des évolutions de l'économie américaine, pour assurer la stabilité des prix et le plein emploi. Et elle tient fermement à ne pas être mêlée à la vie politique.

Permettre "aux politiciens, dont les horizons ne s'étendent que jusqu'aux prochaines élections, d'avoir leur mot à dire sur la politique monétaire (...), produit de l'inflation et de l'instabilité économique", soulignait Don Kohn, ancien vice-président de la Fed, dans une tribune parue dans le New York Times mi-octobre.

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Au Pentagone, on redoute une purge massive sous la présidence Trump

WASHINGTON (Reuters) - Durant sa campagne électorale, Donald Trump a promis de "purger" le département américain de la Défense de ses généraux "woke". Maintenant qu'il a été élu président, la question qui taraude le Pentagone est de savoir s'il pourrait aller encore plus loin.

Lors de son premier mandat, de 2017 à 2021, le président américain s'était heurté à la résistance des hauts gradés sur de nombreux sujets, de sa position vis-à-vis de l'Otan à sa volonté de faire intervenir l'armée dans les rues des Etats-Unis.

D'anciens généraux et secrétaires américains à la Défense figurent parmi ses détracteurs les plus virulents, certains l'ayant qualifié de fasciste ou d'homme inapte à exercer les plus hautes fonctions.

Donald Trump a déjà laissé entendre que l'ancien chef d'état-major des armées Mark Milley, qui a déclaré en quittant ses fonctions en septembre 2023 que l'armée avait pour devoir de respecter la Constitution et non "un dictateur en puissance", aurait pu être exécuté pour trahison en d'autres temps.

Des anciens ou actuels officiers interrogés par Reuters s'attendent à ce que le président-élu privilégie la loyauté au cours de son deuxième mandat et limoge les gradés ou les fonctionnaires qu'il jugera trop indépendants d'esprit.

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Etats-Unis. Donald Trump demande à se passer de l'approbation du Sénat pour ses nominations

Donald Trump a demandé dimanche 10 novembre aux sénateurs de le dispenser de leur approbation pour ses nominations. Trois sénateurs en campagne pour le poste de chef de la majorité à la chambre haute ont ouvertement soutenu cette demande.

Le président élu américain Donald Trump a demandé dimanche aux sénateurs de le dispenser de leur approbation, en principe obligatoire, pour nommer les plus hauts responsables de sa future administration.

Un article de la Constitution américaine permet au président de procéder à des nominations sans qu'elles soient approuvées par le Sénat quand ce dernier n'est pas en session. Mais cette disposition est rarement activée, les sénateurs s'arrangeant habituellement pour siéger au moment des nominations et exercer ainsi leur pouvoir de contrôle sur l'exécutif.

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"La démocratie est un trésor fragile" : Jean-Noël Barrot s'adresse à Elon Musk, annoncé dans un gouvernement Trump, et appelle à une Europe puissante

Alors que la réélection de Donald Trump pose de nombreuses questions notamment géopolitiques, le ministre de l’Europe et des Affaires Étrangères a appelé à une Union Européenne comme "puissance géopolitique sans égale" et a recadré Elon Musk, attendu dans le gouvernement américain.

Dans une interview au Parisien parue ce dimanche 10 novembre, le ministre de l’Europe et des Affaires Étrangères Jean-Noël Barrot a réagi à la récente victoire de Donald Trump et sur les conséquences géopolitique qu’elle implique, mais également sur une probable nomination d’Elon Musk dans un gouvernement. Ce dernier était un fervent soutien de la campagne du Républicain.

Au sujet de celui qui avait racheté Twitter en 2022, Jean-Noël Barrot prévient : "la démocratie est un trésor fragile. Nous n’accepterons jamais que le débat public soit délocalisé sur des réseaux sociaux dérégulés aux mains d’intérêts particuliers, qu’ils soient américains ou chinois". "Souhaitons qu’il n’inflige pas à la démocratie américaine le traitement qu’il a administré à Twitter", ajoute le ministre.

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Grâce à l'élection de Trump, Tesla est de retour dans ce club d'entreprise très select

Grâce à l'élection de Trump, Tesla retrouve sa place dans le petit club des entreprises valorisées à plus de 1000 milliards de dollars. Une performance spectaculaire qui illustre l'impact considérable de la politique sur les marchés financiers.

Une ascension fulgurante portée par la victoire de Trump

Le soutien appuyé d'Elon Musk à Donald Trump pendant la campagne n'est pas passé inaperçu auprès des investisseurs. Le CEO de Tesla a notamment injecté plus de 118 millions de dollars dans un super PAC pro-Trump et utilisé sa plateforme X (ex-Twitter) pour promouvoir activement le candidat républicain.

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Peut-on vraiment comparer Donald Trump et Adolf Hitler?

La déferlante médiatique qui accompagne la campagne présidentielle américaine est favorable à ce genre de raccourcis, généralement nauséabonds. Dans ce cas précis, pourtant, le rapprochement entre les deux leaders politiques mérite que l'on s'y attarde.

Donald Trump et Adolf Hitler: le rapprochement a déjà été fait à de nombreuses reprises. Même J.D. Vance, le sénateur de l'Ohio qui lui sert aujourd'hui de colistier, comparait en 2016 celui qui n'était encore que le candidat républicain à la Maison-Blanche au Führer. L'intéressé n'a jamais caché ses sympathies pour les tyrans: il a fameusement encensé le Premier ministre hongrois Viktor Orbán («un homme fort»), le président russe Vladimir Poutine («un génie»), le chef suprême nord-coréen Kim Jong-un («très honorable») et aurait même laissé entendre qu'Adolf Hitler «a fait beaucoup de bonnes choses», lors d'une commémoration en France en 2018.

Un discours fanatisé

Adolf Hitler et Donald Trump, donc. Deux populistes exaltés, deux menteurs pathologiques, deux agitateurs de foules avec de la haine plein la bouche. La comparaison, pour l'historien que je suis, s'arrêtait là. Jusqu'à ce que, en épluchant Mein Kampf (1925) dans le cadre de mes recherches, je découvre le passage suivant. «Les Protocoles des Sages de Sion, que les juifs renient officiellement avec une telle violence, ont montré d'une façon incomparable combien toute l'existence de ce peuple repose sur un mensonge permanent. “Ce sont des faux”, répète en gémissant la Gazette de Francfort et elle cherche à en persuader l'univers; c'est là la meilleure preuve qu'ils sont authentiques.»

En lisant ce passage, j'ai vu Donald Trump à la tribune. Sa casquette Make America Great Again (MAGA), son sourire suffisant, le doigt accusateur d'un rapporteur de cour de récré. L'essentiel de la rhétorique autocratique est là: le mensonge éhonté, la peur instrumentalisée, le tacle aux journalistes, la théorie du complot qui se renforce à mesure qu'elle est démentie. Sans surprise, Les Protocoles des Sages de Sion sont une publication inventée du début du XXe siècle et non le prétendu «Programme juif de conquête du monde» que les antisémites décriaient (et décrient parfois encore aujourd'hui).

Mais là où Adolf Hitler diabolisait les juifs, Donald Trump a fait des sans-papiers ses cibles favorites. Les migrants «empoisonnent le sang de notre pays, voilà ce qu'ils font», lançait-il lors d'un meeting de campagne dans le New Hampshire, le 16 décembre 2023. «Au nord et au sud, le poison étranger dévorait le corps de notre peuple», peut-on lire dans Mein Kampf.

La référence au sang, qui rappelle la terrible «loi sur la protection du sang allemand», promulguée à Nuremberg en septembre 1935, n'est pas anodine. Adolf Hitler comme Donald Trump filent la métaphore de la «souillure», d'un sang «pur» gâché par des mélanges ethniques. Comme l'a fait remarquer le célèbre philologue et linguiste allemand Victor Klemperer, Adolf Hitler a instrumentalisé la langue de Goethe pour servir son idéologie nationaliste. Truffée de mots liés à l'origine («sang», «race») et de préfixes impérialistes (Volk-, «du peuple» ou Welt-, «du monde»), la langue allemande s'est radicalisée, normalisant les comportements génocidaires et suprémacistes à venir.

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Protectionnisme de Trump : la France « défendra ses intérêts »

La France ne fera pas le dos rond face aux mesures protectionnistes de Donald Trump, a prévenu Jean-Noël Barrot ce mardi. « Si l'administration Trump devait persister dans ce que j'ai qualifié d'erreur majeure, alors nous défendrons nos intérêts agricoles, industriels et commerciaux avec une volonté de fer et sans trembler », a déclaré le ministre français des Affaires étrangères, interviewé par France 24 et RFI.

Pour mémoire, le premier mandat de Donald Trump avait été marqué par l'imposition de droits de douane punitifs sur une myriade de biens et produits dans le monde dont ceux venant de France, au motif de rééquilibrer la balance commerciale largement déficitaire des Etats-Unis vis-à-vis de ses partenaires commerciaux.

Lire aussiFace à Trump, « l'Europe pourrait brandir la taxe carbone aux frontières »
Pour ce second mandat, Donald Trump a prévenu que les droits de douane restaient la pierre angulaire de sa politique commerciale, évoquant l'imposition d'une surtaxe allant de 10 à 20% sur l'ensemble des produits étrangers entrant aux Etats-Unis.

« Une erreur de calcul majeure »
Selon Jean-Noël Barrot, la prochaine administration américaine commettrait « une erreur de calcul majeure » en appliquant « des droits de douane de manière un peu indiscriminée et massive à l'Europe ».

Le ministre des Affaires étrangères a argué que l'Union européenne était le premier partenaire commercial des Etats-Unis. Appliquer des taxes supplémentaires à l'importation « pénaliserait lourdement les très nombreuses entreprises américaines qui aujourd'hui sont installées en France ou en Europe », et qui exportent ensuite vers le marché américain, a-t-il fait valoir.

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Le risque de récession aux USA grimpe à 75% suite à l'élection de Trump selon BCA

Investing.com - Alors que les marchés se réjouissent de l’élection de Donald Trump, de nombreux analystes préviennent que son retour au pouvoir est loin d’être exempt de risques.

C’est notamment le cas des analystes de BCA Research, qui ont déclaré dans une récente note que les chances d'une récession américaine avaient bondi depuis la victoire du président élu Donald Trump la semaine dernière.

Ils ont ainsi rehaussé leur estimation de la probabilité d'une récession économique aux USA de 65 % à 75 %, citant le risque d'une nouvelle guerre commerciale sous Trump.

« La perspective d'une nouvelle guerre commerciale fait plus que compenser les autres éléments favorables aux entreprises du programme de M. Trump » ont écrit les analystes, ajoutant que « le marché du travail s'affaiblissant déjà avant les élections, les chances d'une récession ont augmenté ».

Rappelons que lors de sa campagne électorale, M. Trump a proposé d'appliquer des droits de douane universels de 10 à 20 % sur les produits importés aux États-Unis et des droits de douane de 60 % sur les produits en provenance de Chine.

Or, BCA Research estime que ces droits de douane risquent de faire baisser les investissements des entreprises et le revenu disponible réel des ménages pour les consommateurs, ce qui constituerait un double coup dur pour l'économie, citant une étude du Budget Lab de Yale qui estime que les droits de douane proposés par M. Trump réduiraient le revenu disponible réel du ménage américain médian de 1 900 à 7 600 dollars.

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En France, que « faire » de la victoire de Trump ?

Comment allons-nous entendre, disséquer, interpréter en France ce que les électeurs de Donald Trump ont exprimé dans les urnes ? Cette question, que l'éditorialiste Patrick Cohen (France Inter) soulevait mercredi 6 novembre à 7h40 alors que la victoire n'était pas encore confirmée, est évidemment cardinale. Elle revêt même une centralité proportionnelle à l'envergure du raz-de-marée populaire du candidat républicain, et est devenue une évidence. Oui, qu'allons-nous faire, au sein de toute la société française, de ce résultat sismique ? Toute la société désignant bien sûr le cénacle politique, plus encore l'ensemble des espaces et des collectifs (écoles, universités, entreprises, associations, syndicats, clubs sportifs, scènes culturelles, médias, etc.) où se « construit », au quotidien, la société.

La question sollicite les partisans de Trump. Des partisans français logiquement à l'image des 72,6 millions d'électeurs « rouges » outre-Atlantique : ils forment un kaléidoscope, sensiblement moins caricatural que l'image, incompréhensible à nos yeux d'Européens, qu'ont placardé les abjections du milliardaire ou l'hystérie des hordes de fanatiques complotistes paradant dans les rues bardés de leurs fusils-mitrailleurs. Des partisans qu'on ne peut pas réduire, en France, aux lieutenants RN de Marine Le Pen et Jordan Bardella exultant dans les médias du groupe Bolloré. La doxa est d'autant mieux disposée à décomplexer la parole pro-Trump que le scrutin final s'est révélé triomphal : il « accrédite » le délire complotiste des élites, des médias, du système et de l'establishment coalisés contre le vainqueur, il favorise la « trumpisation » des esprits sur la planète, des bolsonaristes brésiliens à l'Europe brune en passant par les séides de Netanyahou ou les affidés indiens de Modi.

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Quels sont les pays européens qui dépendent le plus des exportations vers les États-Unis ?

"Les pays de l'UE n'achètent pas nos voitures. Ils n'achètent pas nos produits agricoles. Ils vendent des millions et des millions de voitures aux États-Unis. Ils vont devoir payer le prix fort", déclarait Donald Trump, le prochain candidat américain, peu avant l'élection.

Suite à sa victoire, l'UE étudie les options qui s'offrent à elle pour faire face à un éventuel droit de douane de 10 % sur tous les produits de l'UE exportés vers les États-Unis - une proposition majeure de la campagne électorale de Donald Trump en 2024.

En 2023, l'Allemagne était largement en tête, exportant 157,7 milliards d'euros de marchandises vers les États-Unis, selon Eurostat. L'Italie et l'Irlande suivaient de très loin, avec des exportations évaluées respectivement à 67,3 milliards d'euros et 51,6 milliards d'euros.

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A peine élu, Donald Trump place déjà ses proches aux postes-clés de son futur gouvernement

Donald Trump progresse dans la formation de sa future administration, en nommant des fidèles à des postes-clés et en exigeant qu’ils puissent assumer leurs fonctions en évitant un laborieux processus de confirmation au Sénat.

« La victoire de Donald Trump, c’est le retour du refoulé de l’Amérique »
Selon le « New York Times », le président élu envisage de nommer l’influent sénateur de Floride Marco Rubio au poste de secrétaire d’Etat. Agé de 53 ans, ce dernier avait déjà été pressenti pour devenir le candidat républicain à la vice-présidence, Donald Trump lui préférant finalement J.D. Vance.

Si cette nomination se confirme, elle marquerait un spectaculaire retournement de veste de la part de Marco Rubio, qui en 2016, alors qu’il affrontait Donald Trump aux primaires républicaines, avait qualifié le milliardaire d’« arnaqueur » et de « personne la plus vulgaire qui ait jamais aspiré à la présidence ».

Le sénateur d’origine cubaine, vice-président de la commission du Renseignement du Sénat, avait déclaré la semaine dernière sur CNN qu’il était « toujours intéressé à servir ce pays ».

La prochaine ambassadrice à l’ONU félicitée par Israël
Donald Trump a par ailleurs choisi Elise Stefanik, une représentante de l’Etat de New York âgée de 40 ans, pour le poste d’ambassadrice des Etats-Unis auprès des Nations unies.

« Elise est une combattante de l’Amérique d’abord, incroyablement forte, tenace et intelligente », a justifié celui qui se prépare à revenir à la Maison-Blanche en janvier.

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Si cette nomination se confirme, elle marquerait un spectaculaire retournement de veste de la part de Marco Rubio, qui en 2016, alors qu’il affrontait Donald Trump aux primaires républicaines, avait qualifié le milliardaire d’« arnaqueur » et de « personne la plus vulgaire qui ait jamais aspiré à la présidence ».

Le sénateur d’origine cubaine, vice-président de la commission du Renseignement du Sénat, avait déclaré la semaine dernière sur CNN qu’il était « toujours intéressé à servir ce pays ».

La prochaine ambassadrice à l’ONU félicitée par Israël
Donald Trump a par ailleurs choisi Elise Stefanik, une représentante de l’Etat de New York âgée de 40 ans, pour le poste d’ambassadrice des Etats-Unis auprès des Nations unies.

« Elise est une combattante de l’Amérique d’abord, incroyablement forte, tenace et intelligente », a justifié celui qui se prépare à revenir à la Maison-Blanche en janvier.

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Powell prêt pour une bataille juridique si Trump tente de démettre le président de la Fed de ses fonctions - WSJ

Investing.com - Pressé la semaine dernière de dire s'il démissionnerait si le futur président américain Donald Trump le lui demandait, le président de la Réserve fédérale Jerome Powell a répondu sèchement.

« Non ».

Il a réitéré ce sentiment lorsque les journalistes ont posé la question de savoir si M. Trump avait le pouvoir de le démettre de ses fonctions. M. Powell, qui est titulaire d'un diplôme de droit et a été nommé par M. Trump à la tête de la Fed en 2017, a déclaré que cette mesure n'était pas légalement autorisée.

Selon le Wall Street Journal, ces déclarations laissent entendre que M. Powell contesterait probablement en justice toute tentative d'éviction avant la fin de son mandat en 2026.

Le journal note que M. Powell et d'autres hauts fonctionnaires de la Fed ont évité de dire quoi que ce soit de potentiellement provocateur au sujet de M. Trump ou de sa victoire électorale.

En 2018, alors que le président Trump envisageait de limoger M. Powell en raison de la décision de la Fed de relever les taux d'intérêt contre son avis, les responsables de la banque centrale préparaient un recours en justice visant à protéger son indépendance, a rapporté le WSJ.

Pour M. Powell, une telle épreuve de force serait impérative pour garantir que les futurs présidents de la Fed ne puissent pas être écartés en raison de désaccords politiques avec la Maison Blanche, selon le WSJ.

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Donald Trump s’est déjà entretenu trois fois avec Benyamin Netanyahou

Quel impact aura l’élection de Donald Trump sur la guerre au Proche Orient ? Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a parlé avec le nouveau président américain de « la menace iranienne » dans le cadre du troisième entretien entre les deux hommes en quelques jours, selon ses services.

« Ces derniers jours, je me suis entretenu à trois reprises avec le président élu Donald Trump (…). Nous voyons d’un même œil la menace iranienne dans tous ses aspects », a déclaré Benyamin Netanyahou lors du Conseil des ministres hebdomadaire, selon un communiqué de son bureau. Le chef du gouvernement israélien a également affirmé avoir discuté avec Donald Trump des « grandes opportunités qui s’offrent à Israël, dans le domaine de la paix et de son expansion ».

« Resserrer davantage l’alliance »
Ces conversations entre les deux hommes sont « destinées à resserrer davantage l’alliance solide entre Israël et les États-Unis », précise le communiqué. Les États-Unis sont le principal allié d’Israël engagé dans une offensive militaire contre le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais, deux mouvements islamistes soutenus par l’Iran.

Lors de son précédent mandat, Donald Trump a multiplié les gestes en faveur d’Israël, déplaçant l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, reconnaissant la souveraineté israélienne sur le plateau du Golan syrien occupé et contribuant à la normalisation des liens entre Israël et plusieurs pays arabes avec les accords d’Abraham.

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À quoi pourrait bien ressembler la future équipe de Donald Trump ?

Qui pour intégrer la future administration de Donald Trump pour son arrivée à la Maison-Blanche, le 20 janvier 2025 ? Depuis son élection le 5 novembre, le 47e président des États-Unis forme progressivement sa future équipe, en offrant à ses proches des postes clés. Une équipe qui pourrait bien devenir l'exécutif « le plus à droite de l'ère moderne » des États-Unis, selon CNN. Voici déjà les noms de quelques postes déjà pourvus et les noms circulants pour d'autres.

Marco Rubio, favori pour devenir le nouveau secrétaire d'État
Le secrétaire d'État aux États-Unis est le principal conseiller du président en matière d'affaires étrangères. Il est l'équivalent en France du ministre des Affaires étrangères. Selon plusieurs médias américains, Marco Rubio est le candidat favori pour le poste. Ce sénateur de Floride a été élu au Sénat en 2010. Il est notamment connu pour défendre une ligne de politique étrangère dure envers la Chine, l'Iran, le Venezuela et Cuba en particulier.

À LIRE AUSSI Élection de Donald Trump : « Trump n'est pas bête, il connaît bien son public » Comme le raconte le New York Times dans un portrait dédié, Marco Rubio a notamment été coprésident de la Commission bipartite du Congrès et de l'exécutif sur la Chine, qui avait pour objectif d'élaborer une politique agressive à l'égard de la Chine. Il a aussi contribué à persuader Donald Trump en 2019 de prendre des sanctions sévères contre Nicolas Maduro. Récemment, il a exprimé son soutien à Israël, en déclarant face à un militant lui demandant son avis sur les pertes civiles palestiniennes : « Je pense que le Hamas est à 100 % responsable. » Proche de Donald Trump, son nom avait un temps été évoqué parmi les possibles colistiers du nouveau président.

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Trump nomme un promoteur immobilier sans expérience au poste d'émissaire spécial pour le Moyen-Orient

Grand ami et soutien de la première heure, Steven Witkoff "sera une voix implacable pour la paix", a indiqué le président élu dans un communiqué.

La valse des nominations. Une semaine après sa nouvelle élection comme président des États-Unis, Donald Trump continue d'étoffer l'administration qui l'accompagnera une fois passée son intronisation officielle prévue le 20 janvier 2025.

Dans un communiqué daté du mardi 12 novembre, le président élu a indiqué désigner Steven Witkoff au poste d'émissaire spécial pour le Moyen-Orient, une nomination surprise pour ce promoteur immobilier sans aucune expérience en diplomatie.

"Steve est un leader extrêmement respecté du monde des affaires, qui a rendu chaque projet dans lequel il a été impliqué plus fort et plus prospère. Steve sera une voix implacable pour la paix, et nous en serons tous fiers", peut-on lire dans le document.
Avec Trump lors de la tentative d'assassinat
Originaire du Bronx et élevé dans une famille juive, ce New-Yorkais pur souche fondateur du Witkoff Group en 1997 est un ami proche de Donald Trump, avec qui il partage fréquemment des parties de golf. Il avait précédémment été nommé coprésident du comité d'inauguration de Trump aux côtés de l'ancienne sénatrice de Géorgie Kelly Loeffler.

Steven Witkoff était également présent aux côtés du futur 47e président américain lorsque celui-ci a été victime d'une tentative d'assassinat présumée survenue sur un cours de golf de Palm Beach, en Floride, le 15 septembre passé.

Auprès de NBC News, celui-ci a raconté les moments qui ont suivi le coup de feu entendu ce jour-là. "Les snipers se sont séparés et se sont approchés à trois mètres de moi, ont posé leurs trépieds et ont visé exactement l'endroit d'où provenaient les coups de feu", se souvient-il.

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Donald Trump prépare déjà l’expulsion des sans-papiers

Avec les nominations de deux personnalités opposées à l’ouverture des frontières, le futur président des États-Unis envoie un message sans ambiguïté.

Que fera Donald Trump « on day one » - le premier jour de son mandat présidentiel ? Rien n’est certain. Mais il se pourrait bien que ses premières décisions concernent l’immigration

Cette question figure tout en en haut du programme de Donald Trump depuis ses premiers pas en politique, en 2015. Elle est de tous ses discours, de tous ses débats, de tous ses meetings. Et le moins qu’on puisse dire c’est que les nominations successives de Thomas Homan et de Stephen Miller dans son futur gouvernement ne rassurent pas les immigrés vivant aux États-Unis.

Un « tsar des frontières »

Le premier, promu « tsar des frontières » par Donald Trump, aura aussi la main sur « toute la sécurité maritime et aérienne ». Tom Homan a dirigé, pendant son premier mandat, la très redoutée agence de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) dont le rôle principal est d’expulser les migrants sans papiers. Il en était déjà le directeur adjoint sous Barack Obama, période pendant laquelle l’ICE a procédé à un nombre record d’expulsions (432 000 en 2013). Il a également poussé à la séparation des familles à la frontière, femmes et enfants d’un côté, les hommes de l’autre.

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Fervent soutien de Donald Trump, le milliardaire Elon Musk nommé à la tête d'un ministère dans l'administration du président élu

Alors qu’il sera investi pour un deuxième mandat en janvier 2025, Donald Trump annonce les premiers contours de son administration. Fervent supporter du candidat Républicain, le propriétaire de Tesla et X, Elon Musk va bel et bien hériter de son ministère.

Il avait été un soutien fidèle de Donald Trump pendant l’intégralité de sa campagne, sa fidélité sera récompensée. Donald Trump continue d’avancer les noms qui composeront son administration lors de son investiture en janvier 2025. Elon Musk va hériter du ministère de l’Efficacité gouvernementale a annoncé le président élu dans un communiqué sur la plateforme X, via le compte du milliardaire, propriétaire de la plateforme.

"Un cadeau parfait" pour les États-Unis

Dans le communiqué, Donald Trump écrit que ce département "apportera des conseils en dehors du gouvernement" et permettra d’ouvrir la voie "à mon administration pour qu’elle démantèle la bureaucratie gouvernementale, qu’elle réduise considérablement l’excès de réglementations, qu’elle coupe les dépenses déraisonnables et qu’elle restructure les agences fédérales". Il qualifie ce département de "cadeau" offert aux Etats-Unis pour le 250e anniversaire de la ratification de la Déclaré d’indépendance.

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Le procureur spécial Jack Smith pourrait démissionner avant l'arrivée de Trump rapporte le NYT

(Reuters) - Le procureur spécial américain Jack Smith envisage de se retirer avec d'autres membres de son équipe avant que le président élu Donald Trump ne prenne ses fonctions, a rapporté mercredi le New York Times, citant des sources au fait de ses projets.

Jack Smith a inculpé Donald Trump à deux reprises : dans l'affaire des documents classifiés que l'ancien président a conservés après avoir quitté ses fonctions et celle sur sa tentative d'annuler les résultats de l'élection de 2020.

La juge de district du sud de la Floride Aileen Cannon, nommée par Donald Trump, a annulé la procédure concernant les documents classifiés en juillet au motif que la nomination du procureur spécial n'était pas constitutionnelle. Le parquet a fait appel de cette décision.

Le président élu a plaidé non coupable de tous les chefs d'accusation et dénoncé une "chasse aux sorcières", avant de promettre le mois dernier de renvoyer Jack Smith dans les "deux secondes" suivant son entrée en fonction.

Le département de la Justice n'a pas répondu à une demande de commentaire dans l'immédiat.

Selon le New York Times, le procureur spécial agirait de la sorte car il souhaite éviter que certaines parties importantes de son travail reviennent à d'autres.

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Trump promet la guerre commerciale à Pékin... mais la production de casquettes MAGA "Made in China" explose

Donald Trump n'a pas seulement battu Kamala Harris à la présidentielle, il l'a aussi battu à plate couture au chapitre des... ventes de produits dérivés. Le spécialiste de l’e-commerce Omnisend a ainsi calculé qu'on a vendu pour 140 millions de dollars de t-shirts et autres casquettes floquées Trump sur Amazon, contre seulement 26 millions de dollars récoltés par les goodies aux couleurs de sa rivale. Soit plus de cinq articles républicains vendu contre un produit démocrate.

Selon le journal Hong Kongais South China Morning Post, la casquette rouge arborant « Make America Great Again » est une des meilleures ventes de sa catégorie. 10 000 exemplaires ont été vendus en octobre sur Amazon, au prix de 19,99 dollars. Or, tandis que Donald Trump est bien décidé à s'opposer (comme lors de son premier mandat) à la montée en puissance de l'économie chinoise, la plupart de ces produits proviennent tout droit... de la ville de Yiwu, à 3 heures en train au sud de Shanghaï.

Cette ville, où ont également été confectionnés la plupart des goodies des Jeux Olympiques de Paris 2024, accueille le plus grand marché de gros dédié aux articles du quotidien au monde. L'« indice de Yiwu » s'est imposé comme l'oracle de l'opinion américaine depuis 2016 : quand la majorité des sondages américains donnaient Hillary Clinton gagnante, l'inondation des étals de Yiwu par des accessoires siglés Trump pronostiquait le vrai résultat des élections. Rebelote en 2024. Les commerçants de Yiwu se targuent désormais de comprendre les Américains mieux qu'eux-mêmes.

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États-Unis : Donald Trump évoque l'hypothèse de se représenter à la Maison-Blanche

Le 47e président des États-Unis ne peut pourtant pas briguer de troisième mandat, selon la Constitution américaine.

Le président républicain fraîchement élu a évoqué ce mercredi l'hypothèse de se représenter à la Maison-Blanche lors de la prochaine élection présidentielle américaine : «Je pense que je ne me représenterai pas, à moins que vous ne vous disiez “il est bon, nous devons envisager autre chose”», a déclaré Donald Trump lors d’un discours devant ses soutiens à Washington. Pourtant, le 22e amendement de la Constitution américaine lui interdit expressément de briguer un troisième mandat à la Maison-Blanche. «Nul ne pourra être élu à la présidence plus de deux fois» peut-on lire noir sur blanc dans l’acte fondateur des États-Unis, sans qu’il soit question de mandats consécutifs ou non. Donald Trump a été élu président en 2016 et en 2024, il ne pourra donc pas se présenter en 2028.

Avant 1947, la Constitution américaine ne limitait pas le nombre de mandat présidentiel, ce qui a notamment permis à Franklin Roosevelt d’être élu quatre fois président des États-Unis entre 1932 et 1944. Si Donald Trump souhaite se représenter à la course à la Maison-Blanche en 2028, il devra donc modifier la Constitution. Aux États-Unis, la modification de la Constitution doit être approuvée par la majorité des deux tiers de la Chambre des représentants et du Sénat réunis en Congrès ainsi que par les trois quarts des assemblées législatives des États fédérés.

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Immigration, Justice, Sécurité intérieure, Efficacité gouvernementale… Donald Trump constitue son équipe et promet une transition "fluide"

Les premières nominations annoncées par le président élu donnent le ton de son mandat. Donald Trump a rencontré, par ailleurs, Joe Biden, mercredi, à la Maison Blanche.

tiendra tous les leviers du pouvoir : la Maison Blanche, le Sénat, une Cour suprême ultra-conservatrice, mais aussi la Chambre des représentants, où les Républicains sont donnés victorieux avec au moins 218 des 435 sièges, selon les projections de la firme Edison Research publiées mercredi.

Donald Trump va disposer d’une grande marge de manœuvre pour mettre en musique sa politique et les premières nominations autour de lui donnent déjà le ton.

Le milliardaire Elon Musk à l’Efficacité gouvernementale
Le milliardaire propriétaire de Tesla, SpaceX et X, influent soutien du républicain pendant la campagne, dirigera le département de l’Efficacité gouvernementale, avec l’entrepreneur Vivek Ramaswamy.

Ils "ouvriront la voie à mon administration pour qu’elle démantèle la bureaucratie gouvernementale, qu’elle réduise considérablement l’excès de réglementations, qu’elle coupe les dépenses déraisonnables et qu’elle restructure les agences fédérales", a dit Donald Trump dans un communiqué.

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Chine : Donald Trump veut-il «couper les ponts et une confrontation totale» ?

Donald Trump a menacé d'imposer des droits de douane de 60% sur les produits chinois arrivant aux Etats-Unis, tout en exprimant son admiration pour le président chinois Xi Jinping. Marco Rubio, opposant notoire à Pékin, est pressenti pour devenir secrétaire d'Etat.
Après la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle, les relations diplomatiques sino-américaines risquent-elles de se durcir ? Les virulents pourfendeurs de la Chine dans la future administration de Donald Trump ont comparé ses dirigeants communistes aux nazis, l'ont accusée d'avoir produit le virus du Covid ou encore promis de mieux armer Taïwan. Des déclarations qui, sans nul doute, suscitent la circonspection à Pékin, soulignent des experts, au moment où le vainqueur de la présidentielle américaine s'entoure de partisans de la ligne dure et d'une confrontation avec le géant asiatique.

Dans ce trombinoscope figure en bonne place Marco Rubio, sénateur de Floride qui devrait devenir secrétaire d'Etat. Opposant notoire à la Chine, il fait l'objet de sanctions chinoises pour son activisme contre les politiques de Pékin dans ses régions du Xinjiang et de Hong Kong. «Ces faucons sont non seulement très durs sur les questions chinoises. Mais ils sont aussi susceptibles d'agir sans se soucier des conséquences», déclare à l'AFP Wu Xinbo, professeur à l'université Fudan de Shanghai.

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Prudence en vue en Europe avec la politique de Trump

par Claude Chendjou PARIS (Reuters) - Les principales Bourses européennes sont attendues sur une note prudente jeudi, l'appétit pour les actifs risqués sur le Vieux continent étant limité depuis l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. Donald Trump va en outre disposer d'une grande marge de manoeuvre pour mettre en place des mesures protectionnistes, les républicains étant


PARIS (Reuters) - Les principales Bourses européennes sont attendues sur une note prudente jeudi, l'appétit pour les actifs risqués sur le Vieux continent étant limité depuis l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis.

Donald Trump va en outre disposer d'une grande marge de manoeuvre pour mettre en place des mesures protectionnistes, les républicains étant donnés majoritaires à la Chambre des représentants, en plus du Sénat, selon les projections d'Edison Research.

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“La planète va être complètement dévastée”

C’était le 26 octobre dernier. Lors d’un meeting en Pennsylvanie, Donald Trump avait annoncé vouloir faire des Etats-Unis le premier producteur d’énergie.

"Premier jour, première heure... On va faire beaucoup de choses, mais d'abord on va forer” avait assuré Trump. En 2017, l’homme d’affaires républicain avait déjà fait part de son désir de se retirer de l’accord de Paris. Il disait ceci : “Pour remplir mon devoir solennel de protéger l'Amérique et ses citoyens, les Etats-Unis vont se retirer de l'accord de Paris sur le climat".

Et alors qu’il prend ses distances avec Washington, la politique de Donald Trump pourrait bien avoir des conséquences dramatiques sur la planète.

Un rapport du média britannique Carbon brief révèle que la seule inaction climatique de l'administration Trump pourrait coûter à la planète 4 milliards de tonnes de CO2 d'ici 2030. C’est-à-dire deux fois plus que toute la quantité de CO2 déjà réduite dans le monde, grâce à la transition énergétique, ces 5 dernières années.

Le directeur de l'initiative du traité de non-prolifération des combustibles fossiles, Harjeet Singh, souligne que "la victoire de Trump est un énorme revers pour les négociations et pour la coopération mondiale. Nous savons qu'il est susceptible d'inverser toutes les politiques en matière d'énergie propres aux Etats-Unis. Il va favoriser l'extraction des combustibles fossiles. Cela sera dévastateur pour la planète".

Après la Chine, les Etats-Unis demeurent le deuxième pays plus grand émetteur de gaz à effet de serre.

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Les ministres de Donald Trump sont si catastrophiques qu’ils inspirent d’autres nominations, et c’est hilarant

RÉSEAUX SOCIAUX - Il vaut parfois mieux en rire qu’en pleurer. C’est en tout cas ce qu’ont l’air de penser les internautes américains qui n’ont pas manqué de réagir aux nominations des membres de la future administration Trump. Matt Gaetz, plusieurs fois visé par des enquêtes pénales, à la tête du département de la Justice ; Pete Hegseth, ancien journaliste sexiste et conservateur opposé aux femmes soldates, pour piloter le Pentagone ; Robert Kennedy Jr, un antivax notoire aux manettes des agences de santé publique… : face à des choix plus que décriés, ces utilisateurs de X ont choisi la parodie.

Pete Hegseth, le ministre de la Défense de Donald Trump, est sexiste, pro-armes et star de « Fox News »
« URGENT : Donald Trump nomme Godzilla au poste de secrétaire au Logement et au Développement urbain », s’amuse un utilisateur de X, alors que le fameux monstre détruit toujours tout sur son passage.

Toujours dans le domaine des personnages de fiction, un internaute propose le Docteur Heinz Doofenshmirtz de la série américaine Phineas et Ferb « au poste de secrétaire à la Sécurité intérieure ». Ce scientifique maléfique passe la plupart de la série à comploter et à créer des inventions diaboliques qui se révèlent souvent inefficaces.

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Etats-Unis: Trump choisit Doug Burgum comme secrétaire à l'Intérieur

WASHINGTON (Reuters) - Le président-élu américain Donald Trump a déclaré jeudi avoir choisi le gouverneur du Dakota, Doug Burgum, pour occuper le poste de secrétaire à l'Intérieur.

Doug Burgum, ancien patron d'une entreprise de logiciels qu'il a revendue à Microsoft, avait présenté sa candidature à l'investiture républicaine pour l'élection présidentielle avant de la retirer et d'apporter son soutien à Donald Trump.

"Il sera à la tête du département de l'Intérieur et ce sera fantastique", a dit Donald Trump lors d'un gala organisé dans sa résidence floridienne de Mar-a-Lago, ajoutant qu'il ferait une annonce officielle vendredi.

Lors de cet événement, auquel participaient notamment l'homme d'affaires Elon Musk, l'acteur Sylvester Stallone et des membres de la future administration américaine, Donald Trump a vanté les mérites des personnes qu'il a nommé dernièrement.

"Personne ne savait que nous gagnerions (l'élection) comme nous l'avons fait", a-t-il dit.

Depuis qu'il a remporté l'élection présidentielle américaine, Donald Trump a choisi de confier plusieurs postes clés de son administration à ses fidèles.

Doug Burgum a notamment participé à des collectes de fonds et défendu Donald Trump lors d'apparitions à la télévision lors de la campagne présidentielle.

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“C’est le plus grand mythomane de l’histoire”

Au 19e siècle, le président Lincoln avait dit : "On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps." Une maxime qui échappe totalement à Donald Trump. L'historien français Fabrice d'Almeida remet en perspective la victoire du candidat républicain, pour le média France Info. Il revient notamment sur quelques dates clés.

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Etats-Unis : Donald Trump met en place une machine de guerre pour imposer une vision sans compromis

Pour sa prise de fonction le 20 janvier, Donald Trump prépare une administration axée sur la sécurité, la force et des réformes économiques pour relancer les Etats-Unis

STRATÉGIE - Pour sa prise de fonction le 20 janvier, Donald Trump prépare une administration axée sur la sécurité, la force et des réformes économiques pour relancer les Etats-Unis
Alors que Donald Trump se prépare à entamer son second mandat de président des Etats-Unis, son administration prend forme, reflétant une vision marquée par la continuité de ses priorités passées et un engagement renouvelé envers ses objectifs de campagne.

Avec ces nominations, Donald Trump marque surtout son retour en mettant en avant une équipe alignée sur ses priorités et ses promesses de campagne : sécurité, nationalisme économique et efficacité. Si certains choix soulèvent des controverses, notamment autour de la qualification ou de l’idéologie des candidats, il est clair que la nouvelle administration compte mettre en place une ligne politique sans compromis.

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Une compagnie américaine propose une croisière de quatre ans pour « échapper » au mandat de Donald Trump

Une victoire qui ne fait pas que des heureux. Depuis l’annonce des résultats de l’élection remportée par Donald Trump le 6 novembre, de nombreux Américains penseraient à déménager hors de leurs frontières. Pour répondre à leur demande, la compagnie de croisière Villa Vie Residences a décidé de proposer plusieurs forfaits pour quitter le pays durant le mandat du 47e président des États-Unis.

Dans le détail, les formules proposées par la compagnie offrent des croisières allant d’un à quatre ans sur le « Villa Vie Odyssey ». La première d’un an s’appelle « Échapper à la réalité », la deuxième d’une durée de deux ans a été nommée « Élections de mi-parcours », la troisième de trois ans « Partout sauf à la maison ». La quatrième baptisée « Saut en avant » promet d’esquiver l’intégralité du mandat de Donald Trump.

Pour cette dernière, la croisière va rallier 425 ports à travers 140 pays et permettre aux voyageurs de ne rentrer aux États-Unis qu’en 2028, lors de la prochaine élection présidentielle. La croisière promet d’offrir « la possibilité d’échapper aux embouteillages, à la politique et à la monotonie de la vie urbaine », selon les propos d’un porte-parole de la compagnie rapportés par le Business Insider.

À partir de 75 000 euros

Mais échapper à Donald Trump a un prix. Le forfait de quatre ans est disponible à partir de 255 999 dollars (plus de 240 000 euros) pour une chambre simple, tandis que les chambres doubles commencent à 319 998 dollars (plus de 300 000 euros). Ceux qui n’ont pas la chance de pouvoir dépenser autant d’argent peuvent se contenter du forfait d’un an, qui est au prix de 79 999 dollars (environ 75 000 euros) pour une chambre simple. Selon le New York Post, en plus des chambres, le prix du forfait comprend la nourriture et les boissons en formule tout compris, un centre de remise en forme ainsi qu’un spa.

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Entre stratégie politique et conflit d'intérêt: à quoi joue Donald Trump avec les cryptomonnaies?

Donald Trump a lancé une plateforme de cryptomonnaies, soulevant la question d'un possible conflit d'intérêt dans ce secteur.

Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche s'annonce comme une délivrance pour beaucoup d'acteurs des cryptomonnaies, qui voient les États-Unis se repositionner sur ce marché mondial. En juillet, le candidat républicain, un temps fermement opposé à cette technologie, avait promis à un parterre d'initiés de faire de son pays "la capitale mondiale des cryptos".

Au total, des groupes de soutien apparentés à l'univers des devises dématérialisées ont levé quelque 245 millions de dollars durant la campagne électorale, selon la Commission électorale fédérale (FEC), la majeure partie de cet argent permettant de cibler les opposants démocrates au secteur. D'après le Washington Post, à peine élu, Donald Trump cherche déjà des profils crypto-compatibles pour des postes-clés de son futur gouvernement.

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États-Unis: la foi évangélique du futur ambassadeur en Israël alignée sur la droite nationaliste

Mike Huckabee sera le prochain ambassadeur des États-Unis en Israël. La presse de l'État hébreu relève que pour la première fois ce poste ne revient pas à un Américain de confession juive. Mike Huckabee est un républicain conservateur et surtout un chrétien évangélique, connu pour sa proximité avec les idées de la droite israélienne, opposée à toute idée d'État palestinien

protestantes, très conservatrices sur les questions de société et qui pèsent lourd dans l’électorat du Parti républicain aux États-Unis. Sur le plan religieux, les chrétiens évangéliques font une lecture littérale de la Bible. À ce titre, ils défendent l’idée d’une terre donnée par Dieu au peuple juif.

Cet aspect de leur foi a des effets très concrets. Un amour pour Israël décliné en soutien politique et en soutien financier massif : des millions de dollars de dons sont collectés chaque année pour encourager l’émigration des juifs en Israël ou pour des programmes d’aides sociales dans le pays.

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Trump, la victoire de l’obscurantisme contre le camp de la science

L'élection de Donald Trump a sonné comme un coup de tonnerre. Son style, ses positions parfois brutales, ses frasques au goût parfois graveleux font trembler les démocraties occidentales qui y voient un tournant peut être historique aux États-Unis. Contrairement à 2016, Donald Trump prend le chemin de la Maison-Blanche entouré d'une équipe choisie et triée sur le volet à l'instar de son colistier J. D. Vance, du sulfureux Elon Musk ou encore du neveu de l'ex-président Kennedy, Robert Kennedy Junior

Sa nomination à la tête du ministère de la Santé américain sonnerait comme un tremblement de terre pour la communauté médicale et plus largement dans la communauté scientifique dans son ensemble. Car n'est pas John Fitzgerald Kennedy qui veut.

À LIRE AUSSI Antivax et complotiste, qui est Robert Kennedy Jr, le Monsieur Santé de Donald Trump ?

Ce dernier se retournerait dans sa tombe s'il écoutait les fariboles de son neveu adepte des fake news, de la fake médecine et des propos antivax. Il soutient ainsi qu'il existerait un lien entre le vaccin ROR ? rougeole, rubéole, oreillons ? et la survenue de l'autisme. Mais c'est l'épidémie de Sars-CoV-2 qui lui a offert sa plus belle exposition, avançant des théories farfelues telles que la présence de puces électroniques dans les vaccins contre le Covd-19 afin de prendre le contrôle de la population.

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Donald Trump s’est déjà entretenu trois fois avec Benyamin Netanyahou

Quel impact aura l’élection de Donald Trump sur la guerre au Proche Orient ? Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a parlé avec le nouveau président américain de « la menace iranienne » dans le cadre du troisième entretien entre les deux hommes en quelques jours, selon ses services.

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« Ces derniers jours, je me suis entretenu à trois reprises avec le président élu Donald Trump (…). Nous voyons d’un même œil la menace iranienne dans tous ses aspects », a déclaré Benyamin Netanyahou lors du Conseil des ministres hebdomadaire, selon un communiqué de son bureau. Le chef du gouvernement israélien a également affirmé avoir discuté avec Donald Trump des « grandes opportunités qui s’offrent à Israël, dans le domaine de la paix et de son expansion ».

« Resserrer davantage l’alliance »
Ces conversations entre les deux hommes sont « destinées à resserrer davantage l’alliance solide entre Israël et les États-Unis », précise le communiqué. Les États-Unis sont le principal allié d’Israël engagé dans une offensive militaire contre le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais, deux mouvements islamistes soutenus par l’Iran.

Lors de son précédent mandat, Donald Trump a multiplié les gestes en faveur d’Israël, déplaçant l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, reconnaissant la souveraineté israélienne sur le plateau du Golan syrien occupé et contribuant à la normalisation des liens entre Israël et plusieurs pays arabes avec les accords d’Abraham.

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Présidentielle américaine 2024 : les mesures phares de Donald Trump

Immigration, éducation, avortement, économie… Avant l’élection américaine du 5 novembre, tour d’horizon des principales mesures du programme de Donald Trump et du parti républicain qui le soutient.

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Pour l’ex-président français François Hollande, Donald Trump ne prépare pas la paix mais la "capitulation" de l’Ukraine

Pour l’ancien président français, François Hollande, les conditions de paix que Donald Trump s’apprête à imposer à l’Ukraine s’apparentent à une "capitulation".

Le président élu des États-Unis Donald Trump, qui a promis de mettre fin en 24 heures au conflit entre Kiev et Moscou, prépare en fait la "capitulation de l’Ukraine", ce qui serait "insupportable pour les Ukrainiens" et une "humiliation" pour les Européens, a mis en garde dimanche l’ancien président français François Hollande.

Donald Trump "va cesser d’aider" Kiev
Ce que Donald Trump "dit, même avec outrance, il le réalise avec excès", a commenté sur Radio J l’ancien chef de l’État, qui fut aux affaires en partie en même temps que le milliardaire américain, à la fin de son quinquennat à l’Elysée.

Sur le dossier ukrainien, Donald Trump "va cesser d’aider" Kiev, "ce qui va poser un problème de déséquilibre de force", prédit M. Hollande. Dans le cadre d’une conférence de paix, il va ensuite donner "à Vladimir Poutine tout le terrain qu’il a acquis" depuis les offensives russes de 2014 et de 2022, "et puis il dira aux Européens : 'pour le reste, c’est à vous de garantir la sécurité de l’Ukraine, si vous le pensez nécessaire, et c’est à vous d’aider l’Ukraine pour sa reconstruction'", a ajouté l’ancien hôte de l’Elysée.

En somme, "ce n’est pas la paix qu’il (Donald Trump) prépare, c’est la capitulation de l’Ukraine", a-t-il estimé. "Laisser à Vladimir Poutine le bénéfice de la force contre le droit international, ce serait grave et même insupportable pour les Ukrainiens", et cela ferait craindre "d’autres offensives menées par la Russie dans les années qui viennent", a-t-il mis en garde.

n somme, "ce n’est pas la paix qu’il (Donald Trump) prépare, c’est la capitulation de l’Ukraine", a-t-il estimé. "Laisser à Vladimir Poutine le bénéfice de la force contre le droit international, ce serait grave et même insupportable pour les Ukrainiens", et cela ferait craindre "d’autres offensives menées par la Russie dans les années qui viennent", a-t-il mis en garde.

Attaque massive contre le réseau énergétique ukrainien
L’attaque massive menée dimanche contre le réseau énergétique ukrainien – qui a fait par ailleurs au moins huit morts et une vingtaine de blessés – s’inscrit dans ce contexte, selon M. Hollande : "C’est pour épuiser les Ukrainiens, pour les impressionner", et les contraindre à "céder" lors de cette "fameuse négociation", a-t-il analysé.

Face à cette perspective, l’Europe, et particulièrement la France et l’Allemagne, doivent rester unies, a souligné M. Hollande, qui a appelé son successeur Emmanuel Macron à "prendre une initiative forte" avec le gouvernement allemand qui sortira des urnes en février. Alors que le chancelier Olaf Scholz a donné un "mauvais signal" en téléphonant vendredi à Vladimir Poutine, Paris et Berlin, a plaidé M. Hollande, devront parler d’une seule voix à partir de février, pour "faire front face à Donald Trump" et ne "rien céder à la Russie"

Face à cette perspective, l’Europe, et particulièrement la France et l’Allemagne, doivent rester unies, a souligné M. Hollande, qui a appelé son successeur Emmanuel Macron à "prendre une initiative forte" avec le gouvernement allemand qui sortira des urnes en février. Alors que le chancelier Olaf Scholz a donné un "mauvais signal" en téléphonant vendredi à Vladimir Poutine, Paris et Berlin, a plaidé M. Hollande, devront parler d’une seule voix à partir de février, pour "faire front face à Donald Trump" et ne "rien céder à la Russie".

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