Forum des déistes, athées, inter-religieux et laïques
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Forum des déistes, athées, inter-religieux et laïques
Forum de discussion. Nous accueillons toutes vos opinions et témoignages relatifs aux sujets qui vous tiennent à cœur, dans un bon climat de détente et de respect.
Nombre de messages : 8063 Age : 59 Localisation : Vaisseau mère Date d'inscription : 14/05/2011
Sujet: Léo Ferré Sam 11 Juin 2011 - 20:03
Léo était capable de parler de son époque et du sang ,de la misère La guerre et du pouvoir de nos politiciens ...À cette époque c'était la libre expression ... Le sexe ,l'amour La solitude
L'anarchiste
Madame la misère
Ni Dieu ,ni Maître
Ton style
Pandore Exégète
Nombre de messages : 8063 Age : 59 Localisation : Vaisseau mère Date d'inscription : 14/05/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Sam 11 Juin 2011 - 20:59
La radiation je l'ai dans mon coeur et que si je l'avale et que je m'en habille Avec elle je serais si belle et mon visage sera celui de la mort ,une faucheuse je deviendrais..moi qui cherchais ma plaçe sur terre Offerte de la grâce de ses précurseurs nucléarisé qui me promette monts et merveilles et une nouvelle couleur de peau tâché de noir Question d'affaire et de nécropole et de l'argent qui ne peu que qu'être au profit du maccabre J'irais l'acheter ce lange noir et je vivrais sous la grisaille de cancer,désormais cette vorace, me dévorra la peau,elle ne me quittera plus jamais unis comme en amour, mais son parfum radioactif me consollera,des affreuses guerres,et qu'elle la mette en lambeau ma chaire ensanglanté , je m'éteindré doucement sous elle dans ma nouvelle vie radioactive compagne infidèle..elle metriche car elle couche avec toute les personnes c'est une garce et une saloppe à qui l'amour arrachera mes maux et de ma frivolité, je danserais ma vie avec elle cette mante religieuse .. Et que j' hurle nuit et jours,personne ne m'entendra ,qu'il ce meurt de ses jours de juin , ma transformation en mutant génétiquement modifié ce fera .. Et si l'hier n'existe plus que par leurs d'aversité résolu à vous corrigez de la déchéance de ce monde sur le pavé et pourri..je m'en réjouis ,c'est fantastique que d'avoir la lumière sous la mort..j'y vois plus clair J'ai mal à mon coeur et des personnes que j'aime et de la terre qui s'assèche qui sans nourriture ...j'ai cette douleur ,je frémis et j'ai les poils qui se raidisse en hérissons et mes yeux pleurs mes désires et de ma solitude de l'âme au milieu de la mers immonde de la radiation et de ma biologie j'ai l'espoir qu'enfin ils agissent Ce qui est peu probable mais une conscience allumé demande du temps Assis sur la grève ,se soulève sa nature ..au doigt des hommes et de leurs folies qui de Dieu rêve encore des mots sage amer..je ne suis pas de cette ailleurs ,je ne suis pas de lieu de pantomime et s'articule d'une chaire endimanché et blanchie sous des ères moralisateurs J'ai cette soif ,d'assoiffé ,cette soif comme celle de l' ivrogne abandonné Sur la fadaise et de la terre fragile ..et de cette équilibre en géser
Pandore Exégète
Nombre de messages : 8063 Age : 59 Localisation : Vaisseau mère Date d'inscription : 14/05/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Jeu 1 Déc 2011 - 6:26
Leo Ferre J'adore ,je haĩs Ce texte à touché mon coeur et J'ai pleuré ,la simplicité qui unis ...sa proximuité
Roxappho Banni une semaine
Nombre de messages : 811 Age : 39 Localisation : Guyenne Date d'inscription : 15/11/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Jeu 1 Déc 2011 - 11:45
Pandore a écrit:
Léo était capable de parler de son époque et du sang ,de la misère La guerre et du pouvoir de nos politiciens ...À cette époque c'était la libre expression ... Le sexe ,l'amour
...la misogynie primaire.
Léo Ferré a écrit:
Elles nous emmerdent, vous comprenez, les femmes... Je hais un certain type de femmes, surtout les femmes cultivées... L'intelligence des femmes c'est dans les ovaires.
Pandore Exégète
Nombre de messages : 8063 Age : 59 Localisation : Vaisseau mère Date d'inscription : 14/05/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Jeu 1 Déc 2011 - 18:12
Je ne le connais pas ,partage pour que j'entende cette parole et que je rejette l'artiste..
florence_yvonne Admin
Nombre de messages : 49669 Age : 64 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 28/03/2006
Sujet: Re: Léo Ferré Jeu 1 Déc 2011 - 18:38
Vu mon humeur du moment moi ce serait plutôt
Pierrot Etudiant
Nombre de messages : 128 Age : 68 Localisation : france ardêche Date d'inscription : 01/12/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Jeu 1 Déc 2011 - 19:34
J'ai AIME Ferré ...et j'AIME encore ....
IL y avait du bon (que je trouvais mauvais !) Il y avait du mauvais (que je trouvais bon !)
Du bon et du moins bon , comme en chacun de NOUS ...
Sachons reconnaitre , pour chaque "époque" ...le bon et le moins bon ...!
OUI ...."Avec le temps ...TOUT s'en va ...."
Roxappho Banni une semaine
Nombre de messages : 811 Age : 39 Localisation : Guyenne Date d'inscription : 15/11/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Jeu 1 Déc 2011 - 21:08
Pandore a écrit:
Je ne le connais pas ,partage pour que j'entende cette parole et que je rejette l'artiste..
Si revendiquer an-archiste et être en même temps patri-archiste est une veste fumisterie de petits hommes médiocres.
Pandore Exégète
Nombre de messages : 8063 Age : 59 Localisation : Vaisseau mère Date d'inscription : 14/05/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Ven 2 Déc 2011 - 18:46
Faut vivre avec un artiste pour comprendre ,ce genre de parole .. Je comprend .. Forcément l'artiste n'aime pas ce faire damné le pion ... Encore moins se faire jouer dans la tête .. et il faut le dire admirer son homme ,c'est un peu ça ..faire profil bas mais haut Ce que je comprend dans la fameuse phrase ,c'est que la femme est hormonal , d'un tempérament ,ou d'humeur changeante ,qui varie selon son cycle ... La femme est passion ,inspiration ..
Roxappho Banni une semaine
Nombre de messages : 811 Age : 39 Localisation : Guyenne Date d'inscription : 15/11/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Ven 2 Déc 2011 - 22:55
Pandore a écrit:
Ce que je comprend dans la fameuse phrase ,c'est que la femme est hormonal , d'un tempérament ,ou d'humeur changeante ,qui varie selon son cycle ... La femme est passion ,inspiration ..
Ce n'est pas ce qui es dit. Sinon, bonjour la vision réductrice pourrie...
Ca reste de la misogynie primaire.
lhirondelle Exégète
Nombre de messages : 14473 Age : 61 Localisation : Belgique Date d'inscription : 17/02/2008
Sujet: Re: Léo Ferré Ven 2 Déc 2011 - 23:39
Moi, je vois d'abord un bonhomme bourré de tics, avec une diction hésitante, un type torturé, ... Il dit des tas de conneries parce qu'il n'était pas au clair avec lui-même. Quand on sait que la relation qu'il avait avec un chimpanzé acariâtre a mis son couple à mal et que sa compagne n'a pu rien faire d'autre que de faire abattre ses animaux intenables, on relativise la portée de ces propos d'un autre âge.
florence_yvonne Admin
Nombre de messages : 49669 Age : 64 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 28/03/2006
Sujet: Re: Léo Ferré Sam 3 Déc 2011 - 12:14
lhirondelle a écrit:
Moi, je vois d'abord un bonhomme bourré de tics, avec une diction hésitante, un type torturé, ... Il dit des tas de conneries parce qu'il n'était pas au clair avec lui-même. Quand on sait que la relation qu'il avait avec un chimpanzé acariâtre a mis son couple à mal et que sa compagne n'a pu rien faire d'autre que de faire abattre ses animaux intenables, on relativise la portée de ces propos d'un autre âge.
C'est à cela que l'on reconnait les génies, ils sont fous et torturés
Pandore Exégète
Nombre de messages : 8063 Age : 59 Localisation : Vaisseau mère Date d'inscription : 14/05/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Ven 9 Déc 2011 - 19:01
La mimique corporelle sous l'analyse d'un artiste torturé .. Et bien des millions de personnes le sont alors.. Ceci n'enlève rien ,une folie de l'esprit panzé.. Bardot tripp sur les phoques Pour dautres les petits chiens avec des diamants dans le coup J'avais un ami qui me disait : Les animaux sont mieux que les hommes Autremendit ,tu ne l'aime pas et c'est tout .. Voilà au moin un point clair Maintenant coté artistiqueet création , nous analyserons le profil et nous choissirons les oeuvres Bonne idée ,je commencerai par les scientifiques,politiciens,banquiers et militaires
Pandore Exégète
Nombre de messages : 8063 Age : 59 Localisation : Vaisseau mère Date d'inscription : 14/05/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Ven 3 Fév 2012 - 1:21
Ce soir je suis tombé sur celle là ..
J'ai été surprise à la fin ,d'un bon je me suis levé de ma chaise et j'ai ris ,ha bien mer...alors ,je ne mis attendais pas du tout ..qu'est-ce qu'il surprenant ..
Léo Ferré chante Beaudelaire-Le vin de l'assassin Il faut lui donner ça ,mais quelle voix ..c'est dur à trouver ,ce genre d'homme
Pandore Exégète
Nombre de messages : 8063 Age : 59 Localisation : Vaisseau mère Date d'inscription : 14/05/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Sam 22 Sep 2012 - 7:05
Il faut savoir ,se laisser embarquer sur le dos par un homme Il faut être à même de lui baiser les pieds,une tendre reconnaissance une douceur de l'esprit et de l'âme unis sous cette forçe abrupte ,sous ce rocher amer ,la femme se repose Ce qui le fait souffrir est l'insoumission comme au passé d'une mère acariâtre,il dérive le coeur en lambeau l'âme est une déchirure martriarcal et sévère sans amour ,sans déesse l'homme s'égare épuisé L'homosexuel lui aspire en lui même et il me parle de feu et de guérison par le feu et de l'âme purifiée de l'homme libéré son caractère ,sa raison ..les saisons mon millitaire fier sous ses drapeaux de guerre et de désolation Lui ,il éventre sa mère ,sa femme ,sa fille et il tue l'enfant comme si ,ses morts ,soulagerait son bref instant de vie,en éloignant de sa malédiction éternelle, logé sous les sciècles à l'hivers glacial ..oublié ,enneigé ,ensanglanté ,il c'est livré au meurtre Sous les cartes et d'une roulette russe ,l'endetté se donna la mort Il me dit :souffrir avec x dimension ,d'éternité et de l'amour et de l'ennuie une phrase de léo ferré cette main douce combien je la connaitrai,en claire lune Qu'elle souffre cette femme vulgaire En tellement de chagrin ,de haine et de chaine cette lunatique éphémère qui à la nuit m'altère une masculine fièvre d'où l'ennuie sous ta dérive et mon souffle s'éteint ,oui il se meurt ,en clameur en cris de rage et qui au petit jours fleurit,par les armes de sang elle ira cueillir à mon coeur ,mon aurore putrid mes jours,en de stupéfiante manière qui me décullotte et qui me la brise La malicieuse gangrène du ciel écarte de moi ses démons j'ai tant de souffrance qu'à l'aurore je prie le ciel de m'éloigner de ce lieu perfide ma sainte figure est une pureté x de madonne sans ce don d'amour ,j'en aurait été folle une grande femme solicitant quelques tendresses ,sous des mains bien fleutrie qui n'a de fin ,qu'à mon oreillé ,qu'une poupée éclaire mon âme N'a de cesse d'avouer ,que mon étoile ,tu est mon impalpable C'est l'unis née de l'an fanfaronnade ,d'une dragonne noire ,c'est de ta lubie manipulatrice que j'ouvre ma cuisse Qu'elle t'étouffe ,ma dernière phrase,sous ton souffle elle m'en veut ma mort,cette femme étrangère de ma nature et qui sous l'épanouie s'avise en misogynie cette x anatomiste,mon artiste,qui claironne la nuit ,sur les rues,de son amour comme un rené d'évesque..sous un nouveau jours , en chevelure frissé qui la caresse d'ennuit de vitriol Qu'elle se branle cette petite tête fêlée,elle est d'un arrièrisme vertébré, elle se consume bien abandonné Ma demesure courtisane en songe balancé ,te dit:combien de trissures et combien d'aimées t'arroguerai la mine tu me demande tout court,et puis plus rien ,et en reine d'amour, tu te joue de mon nez À prétrendre que sur ma couche dévoilée et en commissure bandées ,j'ai laissée de ma parrure à l'écriture choquante Un quelque chose de sale ,à ce que tu dis Et donc ,tu te moque,bien de mon nez et presqu'en éffronté c'est une jolie brissure,qui est bien galbée en pas dansés et si je n'ajoute pas à celà ,que sous ton palier rongé,tu me fait la moulure de la roulure et que tu me joue la feignure, sous des gifflures ,embellit mon hypocrite plus beau tu es, si difficile ,qu'aucun vent n'atteint tes tifs ,tu te débite en paroles grasses et de tes soupirs anéantit ,avouant en toi ,maintenant de ton corps fût affaissé,de mon sourire Qu'importe si me tue tue en boutade ,bientôt l'envol éloigné ,te dégoutera sur l'échec de tes fausses joies Tu te dégoute ,d'un peu de tes bagnoles ,en dire ,c'est ma vomissure que de l'argent ,en tisserand ,une vieille photo d'antan se juxtapose en maitre,sous ma prose si jamais ,elle t'apose la cicatrice ..un peu de sa solitude En ayant aucune idée ,du pas trop pourquoi,n'y sa démesure, encore moins de sa raison C'est le temps qui approche ,sous ses pas et ils s'en sont allé ,de sa friture qu'elle te vomira à l'usure,de son malheur ,de par ta culpabilité de vivre tu ajoute à cela ,quelques manquement ,sous une folie bien trop abrupte mais de quel mal ,tu me ténue ,tu ne m'as sûrement,pas bien comprise À ce stade qu'il parait ,je te déteste, toi l'homme sans mot et comme une bête sans peau À ce qu'il parait ,je lorgnerais ta peau,une sorte de beau tableau et en lampe de chevet ,une autre sorte de temps d'arrêt ,que tu éclairera de mes immondices,question de faire de moi ,ta police un chaperon un peu triste ,sous le rouge du coquelicot Donc tu guette le démon ,tu fais fît de moi,me traite en téton De la mamelle nourricière d'antan et de ta passion de dérision ,que tu me brandis sous le nez, tu j'ajuxtapose les mensonges en raison ,sous les saisons de ma commissure amoindrit Un clown ,un peu triste,les larmes aux yeux de la dame noire je te hais depuis toujours et depuis d'hier et j 'ai le mal d'amour et c'est sous un air, un peu inquiet,que je t'écris cela. Ne me parle plus de toi ,tu me joue l'amour et j'en ai plus qu'assez de tes détours je n'étais rien pour toi ,qu'un plaisir de passade ,une douleur aimanté ,un mal nécessaire et un cauchemard verbeux je te déteste,bien tu le vois et je ne regrette pas,de te l'avoir signifié qu'être dans tes mains ,c'est comme être sous ta mort Une matriarcal qui au petit jours ,pose ses paroles vaincu du maitre maudit Tu es un criminel fou, qui crois que sur lui ,les meurtres sanglants, lui sauvreront la peau qu'un peu de toi , la folle de Dieu ,soit sur ton pieux ,à ta peau d'ébene ,et sous ta cruauté ,d'un lourd passé de cannibal Le tout résonne en moi ,cette encore d'autrefois ,sous tes jours de folies ,comme au coucher versant d'un jours de vin nouveau Tu n'imagine même pas,la couleur des monts savoureux, la distance du fièvreux que de mécontentement soit sous le soupir de toi et du pathétique froid une froidure d'antan qui gagne de ma peau et l'en frissonne sous l'écriture bélligérant et potisférant qui l'emprisonne en tournure facticiels Tu connais tout de Dieu et de leur sagesse et pourtant, 11 annnées sont bel et bien passées Tu juge de mon âme et tu te juge de mes serments d'amour mais qui guide ton cerveau Ma mervermeille d'illuminé ,qui git là ,des morts en caisseaux Cette folle mégère d'autrefois, sous la x expériment, qui à cru à tord à mes poésies Le 3 # débunke fait ta rage..ton aleph d'autrefois ,gémit une rage cléricale D'une phrase bien lancé ,sous ta lame éffilée, d'une dame trop damnée, sous la roulure d'une bille,un joli rotatif Je ne croyais pas en toi,à cette aventure un peu friponne ,mon homme bien aimée Entre ses draps de satin bleuté,une chasse très bien gardé ,mon millitaire aimé J'espérai x la jurée ,la conjurée du sort ,l'anéantir, sous le frimas de ma colère sous le couvert ,d'une terre éloignée ,un canada très froid qui angèle ma foi J'ai imaginé le pire et je l'ai menancé ,voulant la retenir de se dire ,en quelque atrocitée Mais elle m'a ténue ,cette ingénue sous la maitrise habile de sa solitude le meurtre ,le meurtre,le meurtre qui la tue ,qui la déchire ,la ronge jusqu'à la moelle ses yeux sont tristes comme les torrents sans fond,mais toujours aussi claire que le soleil C'est ma douce femme qui clapotte en sonoritées et de vents frais ,elle est ma chute d'onde résonnante Peau de soie fine ...son o.k. ce ptit mots ecorchant le vivant Une coupure verbale ,bien fignolée à tes blessures impatientes je te hairai au petit jours ,comme mon unique vilain Étiolle mes nuits en chagrins perdus et allume en moi le calabre Vole à ma rescousse pour que ma vie soit encore voulu ,sous ta naissance Le temps pour moi n'est pas imparti ou infini Un cruel destin qui se donne au matin des larmes de sang versées ,mon clocher à mes douves ,mon âtre ,que ne saurait être ma personne sans toi Dans cette espace sans fin ,pourquoi se mentir au coeur La douleur fait mal quand glisse le temps sous toi ,mon amour est aveugle Sous la pierre Je lui fermerai les yeux mais pas mon coeur cela m'étant rendu insupportable Cette univers trop grand en monde de vipères Je ne toucherais plus à ma mémoire La supplice d'un aurore ,d'un seul petit jour ,soit le bénit ,en pastel flore ,d'un temps sans marque ,sans masque où à 17ans non encore sorti de l'oeuf ,tu souriais en ce temps là où la vie n'était pas encore rouillé Juste d'oublié le poids de la vie ,qui gâcherait tout Rien n'est pire que l'incertitude ,mon alcôve et Que du cruel destin qui se donne au matin En marche des millitaires qui allument de mon cierge quand à minuit ,ils se reposent sous la plume bénit et pleine de vie soufflant d'un peu plus fort , sur ma bougie et qui s'écroulant d'ennuie ,ne soit plus morose c'est à cette femme,sous cette cuisse maligne qu'un jours de repos en plus ,d'où j'ai bien pleuré ma vie la poète maudite ,qui n'a de prose ,que sur lui ,un peu de sa vie tant de bien que de mal ,à l'aile fini ,elle est ma femme et son temps perdu
Ma trissure mon amour
Pandore Exégète
Nombre de messages : 8063 Age : 59 Localisation : Vaisseau mère Date d'inscription : 14/05/2011
Sujet: Re: Léo Ferré Sam 22 Sep 2012 - 9:46
Il s'est plaint ,le gros vilain méchant loup Il gémit ,il se fâche ,que c'est dommage Il souffre ,il m'endure ,il se meurt de ma parole passée Brissure ,cassure ,cambrure,gelure, éraflure trop habitué à la dentelle ,aux jolies moisselles Qu'en idiotie de plaire son argent brandit,le multimillionnaire tortonnaire des coeurs achetés Il est très important de bien le spéculer à la baisse Je vais le châtier ,le hair ,je jouerai sur tes cordes ,de ma sensible tu me menacera,tu ne sais faire que cela Verre de scotch à la main et cigares aux putains Ta mitainerie d'acier ,ton canon allongé,sous ma mutinerie Sera pour moi un immense plaisir calibré Une fois bien pointé ,il va exploser Il s'est plaint,le gros vilain méchant loup Parce que sans moi ,il est foutu Plus d'érection en direction de son nid un pantin ,ma quatin du millésime titanesque je veux le voir pâlir et perdre ses repères Oublier sa carte ,sous nos quatre pattes Je te déteste mon grand vilain méchant loup j'avoue l'idée logé de ta mort et que j'en ai mis du temps à comprendre La Grande esclandre organiser,de ton jour funèbre,sous la vie Ma folie ravage et en jouie Je te veux en noir ,deuil de passade sans un mot ,sous le toit qui énerve ,si elle te rend rancit,fade et terne Tu n'es qu'une pourriture ,une crasse fugasse de mon calvaire un homme est toujours sans intérêt ,qu'un minable vers de terre Que de cette enfer avec moi il m'a créé Je te hurlerai, tout le jours en versant mon sang sur ton corps le temps de l'impropre,impromptue en nature démentiel C'est l'imbicile docile ,qui déboutonne ton fruck Il n'y aura plus de copains avec qui rire,ta boisade Et tu boira à cette coupe sale que tu m'as promise Quelques expliquations ,qui sonnent ,comme un idiot de service Et tu ne fera pas d'argent ici,encore moins en merci Le silence serait bienvenue ,en solitude De tes vol encaissés ,dont tu m'as si gentillement dérobé C'est qu'il se plaint mon gros vilain méchant loup Toujours avec sa dent creuse ,en cerveaux ramolit quelques mots jauni ,aux côtes munis Pour lui une femme n'est qu'une pâture,une raignure Mon éloge n'est jamais assez bien,pour cette homme fusain Je veux ta mort ,la fin de ton cirque ridicule qui déambule l'abjectation pourquoi ne pas te démolir,de mes mains d'airain ensuite ,ton bonheur s'affichera sous tout les néons de Paris La sens tu bien, est telle assez haute brandit Je vais te l'ériger avec mes mots ,un peu salé Qu'à la douleur de ta bouche éteinte ,je m'étreins Le ,ne me touche pas ,la vieille en mine s'écris mes yeux,se suffiront,en est-ce assez de ta philosophique Tes Dieux menteurs ,à mon nez rieurs Il a, la paresse d'ailleur, en maitre du temps vertueux Une adirondack peiné ,sous la buée parisienne désirée S'éclabousse sous ta frimousse de son BC (beau Cul)