Le monde extérieur existe-il vraiment?

Rappel du premier message :

Nous explorons le monde extérieur à travers nos 5 sens, des signaux sont envoyés au cerveau qui les analyse afin de le décrypter. Tout ce que nous savons de ce monde ne provient que de lui, et si ce monde n’existait que dans notre cerveau ? Que/qui sommes nous en réalité ?

Evidemment que je suis toi. Qui serais je d'autre ?

Qui.
Qui d'autre serais-tu?

Apparemment c'est toi qui crois que je ne suis pas toi. Sinon tu ne me poserais pas cette question inutile, vu que je suis toi et que tu es moi. Je réalise donc que tu ne sais pas qui tu es.

oui bon hein ? on a compris d'accord ? . On est tous des "moi" et des "toi" vu que le monde extérieur n'existe pas.

kawthar a écrit:

Tu m'as fait rire certes, mais je te comprends parfaitement :) à la virgule près :) Je sais ce que cherche, et j'ai trouvé ce que je cherchais, j'ai même eu la surprise et le plaisir d'explorer des 'ailleurs' :) .

Ne te froisse donc pas, je te taquine seulement

Si cela vous tente de développer sur cette exploration des "ailleurs", ne vous gênez pas pour nous en glisser un mot…

kawthar a écrit:

oui bon hein ? on a compris d'accord ? . On est tous des "moi" et des "toi" vu que le monde extérieur n'existe pas.

N'est ce pas émouvant le spectacle de la lutte à mort de 2 gorilles post-modernes dans la jungle du web pour le gain d'une peau de banane conceptuelle ?

On a pas besoin de savoir qui on est pour l'être, on n'est pas l'idée qu'on a de soi, on n'a même pas besoin d'avoir cette idée de qui on est pour être qui on est et exister. Comme on n'a pas idée de qui on est, alors on est pareil, du pareil au même, on est ''celui qui n'a pas idée de qui il est'', on est on. On inclus et on exclut celui qui parle, c'est selon comment on va. On se parle et on se répond, on pourrait aussi ne pas se parler ni se répondre, on pourrait même penser qu'on est pas le même, mais ça resterait quand même dans nos têtes.

Si tu le dis...

Mais alors je ne comprends pas pourquoi tu cherchais absolument à me faire dire qui j'etais si on a pas besoin de savoir qui on est pour l'etre. Enfin j'en ai bien une idée mais peu importe. Bref.

Bonjour Spamoi, je vois bien que tu ne comprends pas. Mais je trouve ça normal puisque déjà, la Compréhension n'existe pas pour toi.
T'as une idée, c'est bien, quand t'auras compris l'idée, tu n'auras plus cette idée, tu seras. Moins tu auras, plus tu seras, c'était l'Idée, ça l'est encore, et ça le sera toujours.

Je ne pourrais etre certain que tu as compris que lorsque tu m'auras dit qui tu es, mais personnellement ca ne m'interresse pas plus que ca d'etre certain que tu as compris. C'est toi qui veut me prouver que tu as compris. Si tu y tiens réellement, dis moi qui tu es, sinon passons à autre chose car toutes ces paroles sont vaines.

Bonjour Spamoi, on avait notre réponse à notre question un peu plus haut, dans ce qu'on a écrit et qu'on n'a pas lu réellement. On se la remet pour nos yeux seulement :

''celui qui n'a pas idée de qui il est'' voilà qui on est.

Maintenant que tu sais qui on est, on peut donc passer à autre chose puisqu'on parle en vain, on comprendra donc que si on a idée de ce dont on parle, on n'a pas, mais vraiment pas idée de qui en parle. C'est correct comme ça, y'a que ça à comprendre, on l'aura compris aussitôt qu'on comprendra que d'avoir une idée de qui on est ne changera en rien le fait d'être qui on est.

Tu ne m'as pas demandé ce que j'étais, mais qui j'étais. C'est donc un Nom que tu m'as demandé. Par conséquent, pour être convaincu, il me faut ton nom. Mais comme je me fiche d'etre convaincu, passons à autre chose. Bonne nuit à toi.

Bonne nuit à moi aussi. :)

Al-Sowar a écrit:

On a pas besoin de savoir qui on est pour l'être, on n'est pas l'idée qu'on a de soi, on n'a même pas besoin d'avoir cette idée de qui on est pour être qui on est et exister. Comme on n'a pas idée de qui on est, alors on est pareil, du pareil au même, on est ''celui qui n'a pas idée de qui il est'', on est on. On inclus et on exclut celui qui parle, c'est selon comment on va. On se parle et on se répond, on pourrait aussi ne pas se parler ni se répondre, on pourrait même penser qu'on est pas le même, mais ça resterait quand même dans nos têtes.

Ca s'appelle être emprisonné de croire que l'on n'a pas besoin de ce connaître car plus on découvre qui l'on est plus on a de l'espace.
Moins on se connait plus on est conditionné. Pour être heureux il faut ne pas avoir peur d'être soi, authentique sinon ce n'est que de la compensation du bricolage. On ne peut pas être pleinement heureux quand on rétrécit son espace. Exister c'est être soi. Vivre la vie des autres par peur d'être soi.. Peur de vexer, peur d'être mal compris, peur de mal faire, peur de décevoir, peur de ne plus être aimé... ce sont des peurs qui nous empêchent d'exister, et ça nous empêche de se connaître, de vivre sa propre vie, de savoir qui l'on est vraiment.

Bonjour Anaïs, rien ne t'empêche de chercher à savoir qui tu serais, de te définir et de limiter à ça, de te figer et de croire que tu serait quelque chose de bien déterminé et que tu doit réduire l'univers à la taille de la place que tu crois être tienne, c'est le propre des particules que de se confiner dans l'espace et d'en prendre possession pour elle-même.
Pour ma part, je préfère le monde des esprits, délocalisée comme la lumière, capable d'occuper et de partager un espace avec d'autre au point d'avoir une part de moi qui serait indiscernable, qui serait également une part de l'autre, une part commune, je préfère toujours croire que je suis en devenir, que mes limites sont toujours repoussées plutôt que de me limiter à n'être qu'une simple définition.

On ne vit pas la vie des autres, ce ne sont que des mots tout ça. On est toujours soi-même, quoi qu'on fasse, même si on veut se faire passer pour un autre, c'est nous-même qui sommes imposteurs, on est jamais ce qu'on pense être, c'est seulement des pensées tout ça, des idées qu'on se fait, on reste toujours celui qui se fait des idées, pas l'idée elle-même.
Tu veux savoir qui tu es? Ben je vais te répondre, le jour où tu penseras avoir ta réponse tu seras ''celle qui pense qu'elle sait qui elle est'', et à la seconde suivante, le temps que t'auras pris pour le savoir, tu comprendras que t'es déjà quelqu'un d'autre, que t'es maintenant ''celle qui pensait qu'elle savait qui elle était''.

Quand t'arrêteras de penser à toi, à qui tu es, à ton égo et à sa couleur, tu ne penseras même plus à vivre, tu vivras tout simplement. Alors cherche, cherche ta place, trouve ton petit coin d'espace et sois-en la prisonnière, moi, ça ne m'intéresse pas de me limiter à ça, je préfère les grands espaces, être différent à chaque jour que la vie offre.

Al-Sowar a écrit:

Bonjour Anaïs, rien ne t'empêche de chercher à savoir qui tu serais, de te définir et de limiter à ça, de te figer et de croire que tu serait quelque chose de bien déterminé et que tu doit réduire l'univers à la taille de la place que tu crois être tienne, c'est le propre des particules que de se confiner dans l'espace et d'en prendre possession pour elle-même.
Pour ma part, je préfère le monde des esprits, délocalisée comme la lumière, capable d'occuper et de partager un espace avec d'autre au point d'avoir une part de moi qui serait indiscernable, qui serait également une part de l'autre, une part commune, je préfère toujours croire que je suis en devenir, que mes limites sont toujours repoussées plutôt que de me limiter à n'être qu'une simple définition.

On ne vit pas la vie des autres, ce ne sont que des mots tout ça. On est toujours soi-même, quoi qu'on fasse, même si on veut se faire passer pour un autre, c'est nous-même qui sommes imposteurs, on est jamais ce qu'on pense être, c'est seulement des pensées tout ça, des idées qu'on se fait, on reste toujours celui qui se fait des idées, pas l'idée elle-même.
Tu veux savoir qui tu es? Ben je vais te répondre, le jour où tu penseras avoir ta réponse tu seras ''celle qui pense qu'elle sait qui elle est'', et à la seconde suivante, le temps que t'auras pris pour le savoir, tu comprendras que t'es déjà quelqu'un d'autre, que t'es maintenant ''celle qui pensait qu'elle savait qui elle était''.

Quand t'arrêteras de penser à toi, à qui tu es, à ton égo et à sa couleur, tu ne penseras même plus à vivre, tu vivras tout simplement. Alors cherche, cherche ta place, trouve ton petit coin d'espace et sois-en la prisonnière, moi, ça ne m'intéresse pas de me limiter à ça, je préfère les grands espaces, être différent à chaque jour que la vie offre.

Tu prends un peu de tout pour faire une idée mais en définitive tu mélanges un peu tout.
Bien sûr qu'il faut vivre le moment présent qui change tout le temps c'est justement ça qui nous fait être libre. Je ne sais pas comment tu comprends ce que je dis mais ça n'a pas l'air de correspondre à ce que je dis... Ca ressemble à un fourre-tout. ce n'est pas très clair.

Pour être libre (donc heureux), il faut savoir se dégager le plus possible des conditionnements. Je suis moi dans le présent, je serai moi tant que je serai dans le présent et je chemine en essayant de rester le plus possible dans le présent donc si je réussis à faire ça, je suis toujours moi même tout en étant effectivement différente chaque jour c'est évident puisque tout change tout le temps et tout le monde est différent à chaque seconde... et ceux qui ne vivent pas dans le présent aussi d'ailleurs... tout le monde change tout le temps. il n'y a pas de "coin" (?)

Je suis ici un esprit dans un corps et je vis ce que je dois vivre dans cet état tout en découvrant que ce que l'on m'a appris depuis toujours ne correspond pas à ce qui est réellement.

Le but de la vie c'est, pour moi d'en faire l'expérience quotidiennement, c'est ça le plus important, pouvoir expérimenter et non continuer à croire aux vieilles idées matérialistes. Vivre au présent pour se trouver, se reconnaître.

On sait ce que sont les messages subliminaux.
on sait pourtant bien que notre perception du temps est une chose tout à fait subjective nous ne percevons que 24 images par seconde si on en met une 25e elle disparait. Ce qui permet au moins à ceux qui veulent rester exclusivement dans le matérialisme, qu'ils sont peut être un peu limite pour donner une opinion vu qu'ils ne comprennent pas ce qui se passe avec leur cerveau.
Qu'est-ce que la vie offre ? Il n'y a rien si l'on est pas soi-même.

Je modifie, ce n'est évidemment pas que l'on est rien, je dirais plutôt où est l'intérêt de vivre une vie conditionnée où l'on passe à côté de soi.

Al-Sowar a écrit:

je préfère toujours croire que je suis en devenir, que mes limites sont toujours repoussées plutôt que de me limiter à n'être qu'une simple définition.

Amen Al-So
Amen !
Et tant qu'à le croire, autant le vivre    
Comme si nous étions en perpétuel devenir : jamais figés, nous laisser transformer par la Lumière : c'est le sel et le mystère de l'existence à mon sens.
Jamais tout à fait le(la) même, jamais tout à fait un(e) autre  
J'espère que tu vas bien :)

dan 26 a écrit:

kawthar a écrit:

dan 26 a écrit:

Désolé je ne sais pas raisonner avec des si .

et pourtant toutes les hypothèses scientifiques comment par un 'si', comment raisonnes tu alors? 

je raisonne par expérience  personnelle , et au travers de ce que je vois
vis, et expérimente .
Ca ne se voit pas du tout...


désolé dans la mesure où nous sommes plusieurs a voir la même chose, en la décrivant avec précision  cela démontre sa réalité, c'est le principe même des témoins qui confirment  ensemble la preuve.
Ton raisonnement tiendrait si pour la même chose,   nous voyons  à plusieurs plusieurs choses différentes . Ne faut il pas 7 témoins  pour prouver un fait !!!(mais pas de femme surtout       hein )

Tu confonds le "réel" et la "réalité" Quand tu auras trouvé la différence entre les deux, tu auras avancé....

Anaïs a écrit:

Tu confonds le "réel" et la "réalité" Quand tu auras trouvé la différence entre les deux, tu auras avancé....

Encore un sophisme , réservé aux initiés, n'est ce pas ?
amicalement .