- mine a écrit:
- Dieu n'est pas un magicien ,il.nous à voulu libres de choisir ,d'orienter nos choix , notre traversée terrestre est parsemée de fracas de joies de deuils nous sommes mortels .il n'a jamais dit qu il restaurait le paradis....
C'est vrai mine : Dieu nous laisse notre libre-arbitre.
Il le laisse au chauffard qui provoque la mort de 6 personnes et en blesse 39 autres.
Il le laisse à l'ivrogne qui a pris la route complètement bourrée et a fauché la vie d'un petit garçon sur le trottoir en face de son école.
On peut ajouter le gars qui jaloux de voir sa femme s'éloigner de lui pour une autre femme les a tuées toutes les deux et puis s'est suicidé ensuite, empêchant les proches de faire leur deuil à travers un procès.
Et on peut en ajouter.
Mais où est le libre arbitre face au Covid, à Ebola, aux tremblements de terre, aux tsunamis, à l'Etna ? même si pour les deux premières épidémies, l'humain à sa part de responsabilité.
Où est le libre arbitre face à un enfant qui naît avec une maladie orpheline, un lourd handicap qui n'atteint qu'une personne sur trouzemillion ?
Où est le libre arbitre quand des humains naissent incapables d'empathie, psychopathe, incapable de mettre un frein à des pulsions sadiques et meurtrière ?
Où est le libre arbitre face à la maladie physique ou mentale, face au handicap, physique ou mental ?
Dieu,
dans sa grande bonté, a voulu que tu naisses schizophrène ? autiste ? infirme cérébral-moteur ?
Le libre-arbitre n'explique pas tout.
Il y a la réponse qu'on a pu parfois déduire des trois premiers chapitres de la Genèse : nous vivons dans un monde cassé, brisé par la faute de nos premiers parents. Cette faute se serait répercutée sur l'ensemble de la création.
Mais, en fait, les trois premiers chapitres de la Genèse raconte simplement qu'une fois que l'humain devient adulte, il doit quitter le paradis de l'enfance où l'on pourvoit à ses besoins, cultiver le sol à la sueur de son front et élever à son tour des enfants avec les peines et les douleurs que cela implique.
Personnellement, je n'ai pas de réponse au pourquoi.
J'ai juste une réponse à la façon de réagir face aux tuiles que je reçois sur la tête : la foi et la louange.